Campée sur le point le plus élevé de la ville, là où se situait jadis le castrum du Bas-Empire et son enceinte de la fin du 3ème siècle, la cathédrale Notre-Dame s’impose de tous côtés aux regards par la haute et austère silhouette de ses deux tours de façade. Ayant survécu par miracle, mais non sans dommages, aux vicissitudes de l’Histoire, elle compte parmi les oeuvres majeures de la première architecture gothique, celle de la seconde moitié du 12ème siècle.
Une histoire de près de quinze siècles
Trois édifices ont, semble-il, précédé l’actuel. Le premier, édifié vers 532 et dû à saint Médard, est contemporain du transfert du siège épiscopal de Vermand/Saint-Quentin à Noyon. Un second lui succède suite à un incendie survenu en 676. Détruit lors d’un raid normand en 859, il est le théâtre du couronnement de Charlemagne comme roi de Neustrie en 768. Le troisième – la cathédrale carolingienne – voit se dérouler le couronnement d’Hugues Capet en 987. Il disparaît à son tour dans un incendie en 1131 pour faire place à la cathédrale actuelle. Rien n’est connu sur ces trois édifices si ce n’est que tous occupaient l’emplacement de la nef de cette dernière et étaient donc contenus à l’intérieur du castrum.
Bien que l’incendie de 1131 soit survenu durant l’épiscopat de Simon de Vermandois – mort en croisade en 1148 – , c’est à son successeur Beaudoin II, évêque de 1148 à 1167, que l’on a coutume d’attribuer la reconstruction de la cathédrale. Des doutes subsistent cependant sur la date de l’important socle en grès (5 mètres de profondeur) sur lequel est assis le choeur. Il est inconcevable, en effet, qu’aucun travaux n’aient été entrepris entre 1131 et 1146 (année où Simon est parti pour la croisade) et légitime de penser, au contraire, que ces années ont été consacrées à la destruction partielle de l’enceinte du 3ème siècle – rendue nécessaire par le projet ambitieux de la nouvelle cathédrale – comme à l’établissement de fondations pour le choeur de celle-ci.
En 1157, la translation des reliques de saint Eloi – sans doute liée au détachement du diocèse de Tournai – s’accompagne d’un appel à dons pour la poursuite des travaux alors que le choeur est déjà bien avancé. En 1167, la translation des reliques de sainte Godeberthe intervient alors que les parties basses du transept sont entamées. La chapelle épiscopale, dédiée à saint Nicolas, est achevée en 1183, de même que le bras sud du transept, avec lequel elle communique. En 1185, un acte de l’évêque Renaud permet de penser que le choeur, le transept et les travées orientales de la nef sont achevés. Le beffroi de la tour nord est en place en 1231 tandis que le cloître et le réfectoire (improprement appelé salle capitulaire) sont bâtis à une date indéterminée entre 1240 et 1269.
La cathédrale et son environnement étaient achevés depuis une trentaine d’années lorsque survient le violent incendie de 1293, qui devait provoquer des dégâts importants à la nef et aux tours du choeur. Cet événement dramatique n’empêchait toutefois pas la construction de sept chapelles entre les contreforts de la nef (six au nord, une au sud) quelques années plus tard. La Guerre de Cent ans épargne la cathédrale, mais le manque d’entretien impose d’importantes réparations durant la seconde moitié du 15ème siècle.
Vers 1528, Charles 1er de Hangest fonde, au sud de la nef, la chapelle de la Confrérie des Joies (aujourd’hui Notre-Dame de Bon Secours), chef d’oeuvre de style gothique flamboyant teinté des apports de la Renaissance. Celle qui lui est contiguë à l’est, la chapelle Saint-Nicolas (aujourd’hui du Sacré-Coeur) est fondée en 1643. Le siècle suivant est marqué par l’arasement des tours du choeur et d’importants travaux (1747-1753) au chevet. Privée d’une grande partie de ses vitraux dès le 18ème siècle et de sa statuaire à la Révolution, la cathédrale n’en survit pas moins à la tourmente.
Son classement parmi les Monuments Historiques dès 1840 est le point de départ d’importants travaux de restauration qui ne s’achèveront qu’en 1910. Epargnée jusqu’en 1918, elle subit, comme la ville de Noyon, des dégâts considérables – au massif occidental et aux voûtes, surtout – lors de l’offensive allemande et de la reconquête française du Printemps 1918. Confiée à l’architecte A. Collin, la restauration est effectuée avec le souci rare du respect des dispositions anciennes et de l’apport de chaque époque, faisant de la cathédrale Notre-Dame un véritable exemple à cet égard.
Un édifice de la première génération du gothique
Bâtie sur une période de soixante ans environ (de la fin des années 1140 au début du 13ème siècle) – la tour sud de façade n’étant terminée qu’une vingtaine d’année plus tard et celle du nord étant du 14ème siècle – la cathédrale Notre-Dame appartient à la première génération du gothique. Illustrée par des édifices comme Saint-Germer-de-Fly (le plus ancien), ou bien, parmi d’autres exemples, les cathédrales Notre-Dame de Senlis, Laon et Paris, elle se caractérise par l’utilisation généralisée de la voûte d’ogives, la présence de tribunes voûtées et des fenêtres hautes aux dimensions encore relativement réduites et inscrites dans la lunette des voûtes. Une autre famille, représentée par les abbatiales de Saint-Denis et de Saint-Germain-des-Prés, la prieurale de Saint-Leu d’Esserent ou encore la cathédrale Saint-Etienne de Sens, renonce aux tribunes voûtées et fait appel à l’arc-boutant pour contrebuter les voûtes hautes. La généralisation de cette technique de contrebutement à la fin du 12ème siècle donnera naissance aux grandes cathédrales du 13ème siècle, aux voûtes portées toujours plus haut et aux murs de plus en plus réduits au profit des ouvertures.
Longue de 103 mètres (Paris en compte 130 et Laon 110), Notre-Dame se compose d’un choeur de deux travées terminées par une abside, l’ensemble étant flanqué de bas-côtés sur lesquels se greffent quatre chapelles droites et d’un déambulatoire desservant cinq chapelles rayonnantes. La première travée des bas-côtés sert d’assise à deux tours partiellement arasées au 18ème siècle. Un transept aux extrémités en hémicycle se développe à l’ouest, suivi d’une longue nef de cinq travées doubles avec bas-côtés. Un vaste massif occidental, servant de socle aux tours et précédé d’un porche voûté, introduit à l’édifice.
Le choeur
Le plan du choeur reproduit presque exactement celui de Saint-Germain-des-Prés (commencé vers 1145), lui-même dérivé de Saint-Denis (1140-1144). Il ressort de l’analyse minutieuse de cette partie de l’édifice que les chapelles et l’enveloppe externe des tribunes, de même que l’assise des deux tours qui flanquaient autrefois le choeur – inscrivant Noyon dans la famille, d’origine carolingienne, des chevets harmoniques – appartiennent à une première campagne de travaux. Les curieuses piles ondulées qui séparent les chapelles, la très grande richesse du décor des chapiteaux – aux références encore romanes – comme le traitement réservé, à l’extérieur, aux fenêtres richement moulurées que séparent des contreforts-colonnes, tout cela oriente vers des influences venues du monde anglo-normand comme du Laonnois et du Soissonnais voisins.
Objet d’une seconde campagne de construction terminée vers 1165, le vaisseau central se caractérise par son élévation à quatre étages, la plus ancienne de ce type dans l’architecture gothique après Saint-Germer-de-Fly. Se succèdent ainsi l’étage des grandes arcades, celui des tribunes, un niveau d’arcatures aveugles correspondant aux combles des tribunes et l’étage des fenêtres hautes. Les arcades du rez-de-chaussée sont traitées avec une grande simplicité et retombent sur de minces piles circulaires (les quatre supports de la travée droite ont été repris au 15ème siècle). Les baies des tribunes – doubles dans les travées droites, où elles retombent au centre sur un faisceau de minces colonnes, et simples dans la partie tournante – sont, au contraire, soulignées par une mouluration d’une grande richesse. Au-dessus, les arcatures aveugles trilobées, au nombre de trois à cinq selon les travées, annoncent le triforium passage de la génération suivante, tel qu’il sera utilisé au transept et à la nef. Le dernier étage, enfin, est percé d’une série de fenêtres dont les piédroits sont soulignés par de minces colonnettes. Les voûtes retombent sur des faisceaux de trois colonnettes baguées à intervalles réguliers.
Tout le vaisseau central du choeur se caractérise ainsi par son extrême richesse décorative, par sa plastique généreuse qui font écho, là encore, à l’architecture anglo-normande comme à celle du Laonnois et du Soissonnais. Tout aussi riche dans sa décoration, le chevet est remarquable par l’équilibre de sa composition et l’étagement de ses volumes, altérés, cependant, par les modifications et les réfections dont il fut très souvent l’objet. La disparition de la toiture unique des chapelles – son appui se voit encore à la base des fenêtres des tribunes – au profit de toitures individualisées ; la réfection des arcs-boutants des tribunes au 15ème siècle et mise en place, au 18ème siècle, de nouveaux arcs-boutants dans les parties hautes ne permettent plus de définir avec certitude le système de contrebutement mis en place à l’origine.
Le transept
Démarré dans les années 1160, lorsque s’achevait le choeur, et terminé vers 1185, le transept est certainement l’élément le plus remarquable de la cathédrale. Très proche, par ses dimensions, du vaisseau central du choeur, il en reprend la terminaison arrondie. Ce parti d’origine très ancienne a connu un succès réel dans les régions du Nord aux 12ème et 13ème siècles. Dans le cas de Noyon, et sans exclure d’autres influences, il est tentant de voir en la cathédrale de Tournai, dont le diocèse était associé à celui de Noyon jusqu’en 1146, la source de cette particularité. Doté, sur chaque bras, d’un portail s’ouvrant à l’est, il remplissait un rôle fonctionnel essentiel en permettant l’accueil des pèlerins qui venaient se recueillir auprès des reliques de saint Eloi et en assurant, par ailleurs, une communication directe avec les bâtiments du chapitre, au nord, et avec la chapelle et le palais épiscopal, au sud.
Mais, plus encore que le plan, c’est la conception de l’élévation qui retient l’attention. Divisée en cinq registres, elle comporte d’abord un soubassement puissant constitué d’une suite de deux ou trois arcatures aveugles au premier niveau, que circonscrivent des arcatures simples constituant le second niveau. Au-dessus, un triforium passage assure la continuité de la circulation entre les tribunes du choeur et celles de la nef. En contraste total avec cette partie aveugle (en tout cas au nord, le doute subsistant au sud, où les fenêtres sont du 19ème siècle) et qui constitue environ la moitié de l’élévation totale, les deux niveaux supérieurs sont inondés de lumière. Développant le principe du triforium passage situé au-dessous, le dédoublement de la paroi s’y trouve ici affirmé d’une manière spectaculaire en associant une baie recoupée par une colonnette d’une finesse sans pareil à une fenêtre à deux lancettes, toutes ces ouvertures occupant pratiquement la totalité de l’espace disponible. Le dispositif est inversé au dernier niveau où, la fenêtre étant placée sur le plan interne, c’est la galerie de circulation qui se trouve rejetée à l’extérieur.
A l’originalité de cette structure s’ajoute une mise en oeuvre d’un raffinement extraordinaire avec, notamment, l’utilisation systématique du délit (les colonnes et les colonnettes sont indépendantes des murs) et un mélange subtil des formes en plein cintre et brisées. Tout ce raffinement ne nuit nullement à la lisibilité de l’ensemble, tant à l’intérieur, quadrillé en quelque sorte par les faisceaux de colonnettes recevant les voûtes et les bandeaux moulurés séparant les niveaux, qu’à l’extérieur, bien structuré par les contreforts qui montent d’un seul jet jusqu’à la toiture.
La nef
Réalisant en quelque sorte la fusion entre le choeur, dont elle reprend l’élévation à quatre étages, et le transept, auquel elle emprunte le triforium passage et le réseau des fenêtres hautes, la nef, bien que d’un bel équilibre, est la partie la moins novatrice de la cathédrale. Sa particularité réside surtout dans l’alternance de piles circulaires et de piles composées, justifiée par un voûtement sexpartite qui n’a, finalement, pas été réalisé. L’alternance observée dans les supports ne se retrouve donc pas au niveau des voûtes, au nombre de dix pour les cinq travées doubles que compte la nef. Une analyse minutieuse de celle-ci montre par ailleurs que les deux travées doubles orientales appartiennent à la même campagne que le transept, les travaux ayant commencé par le nord. Ce n’est qu’à l’achèvement des trois travées doubles occidentales, à la fin du 12ème siècle, que le voûtement de l’ensemble a été réalisé.
Si l’étage des grandes arcades est traité avec sobriété, celui des tribunes fait écho au raffinement du transept : les baies, divisées en deux par une colonnette médiane, sont finement moulurées et un trèfle ajoure leur tympan. Comme déjà observé au choeur et au transept, les formes brisées – utilisées pour les deux premiers niveaux – et en plein cintre – qui caractérisent le triforium et les fenêtres hautes – sont étroitement associées. Si l’élévation de la nef de Noyon est reprise à Saint-Rémi de Reims et à Notre-Dame-en-Vaux de Châlons-sur-Marne, l’alternance des piles connaît ici un de ses derniers exemples : à la même époque, les cathédrales de Paris et de Laon comportent exclusivement des piles circulaires bien que les voûtes soient sexpartites.
La façade
Classique, dans sa conception à deux tours d’égale importance, la façade de la cathédrale – réalisée entre 1200 et 1235 environ – est, en revanche, originale dans ses dispositions intérieures. Totalement évidée jusqu’au niveau de la voûte du vaisseau central de la nef, elle se présente, en effet, comme un second transept. A l’étage des tribunes de la nef, un triforium passage fait le tour de ce massif occidental (à l’ouest, il débouche sur la terrasse du porche qui abrite les portails) et permet une communication continue entre les diverses parties de l’édifice.
A l’extérieur, c’est la puissante masse des deux tours et leurs imposants contreforts qui dominent et imposent au regard une articulation verticale. Au-dessus du niveau des portails, abrités sous un profond porche que contrebutent deux contreforts traités comme des arcs-boutants et ajoutés au 14ème siècle, un étage ajouré de trois grandes fenêtres composées chacune de trois baies, correspond au niveau des tribunes. Le troisième étage, formé par une galerie ajourée d’arcatures, n’est pas homogène : la partie centrale et celle correspondant à la tour sud sont du début du 13ème siècle tandis que la galerie nord est postérieure à l’incendie de 1293. Il en est de même des deux tours et celle du nord, avec ses deux longues baies géminées coiffées de gables et ses contreforts aux larmiers distribués différemment, porte les marques d’une importante réfection.
Les trois portails occidentaux ne peuvent plus être évoqués qu’au passé, l’oeuvre destructrice de la Révolution ayant été ici sans pitié. Leur conception générale comme les quelques rares éléments conservés montrent des rapports assez étroits avec les portails, contemporains, de la cathédrale d’Amiens.
Les chapelles
Hormis la construction de chapelles entre les contreforts de la nef à diverses époques et la modification des parties hautes du chevet au 18ème siècle, la cathédrale Notre-Dame n’a pas connu de modifications majeures par rapport à la physionomie qu’elle présentait au 13ème siècle. Parmi celles-ci, il convient cependant d’accorder une mention toute particulière à la chapelle bâtie au sud de la nef, vers 1528, par l’évêque Charles 1er de Hangest. Autrefois dédiée à la Confrérie des Joies, cette construction de trois travées est couverte de voûtes à clefs pendantes d’une rare virtuosité. Les niches avec dais à la retombée des voûtes comme celles, au nombre de cinq, qui constituent le retable du mur oriental sont de la même veine et l’ensemble représente un excellent témoignage de l’introduction du vocabulaire de la Renaissance dans une réalisation dominée par le style gothique flamboyant.
Le mobilier
La cathédrale a gardé un riche mobilier au premier rang duquel est un ensemble absolument exceptionnel d’armoires et de coffres médiévaux. Un autre ensemble, également remarquable, est constitué par des clôtures et objets en ferronnerie – dont la cloche dite de sainte Godeberthe, du 7ème siècle, et un chariot à braises, des 14ème/15ème siècles – du 12ème au 19ème siècles. Des éléments de vitraux du 13ème siècle consacrés à la Vie de saint Pantaléon et remontés dans deux verrières de la chapelle d’axe sont tout ce qui reste de la vitrerie médiévale. Exécutée vers 1180 et installée au trumeau du portail central, la Vierge à l’Enfant reste, également, seule à témoigner pour la sculpture médiévale de la cathédrale. Les magnifiques châsses (saint Médard, sainte Godeberthe, saint Eloi) qui faisaient la gloire du trésor de Notre-Dame ont disparu à la Révolution. Les aménagements réalisés dans le choeur au 18ème siècle – pavement, clôtures, stalles, lutrin – ont eu davantage de chance et sont bien conservés. Plusieurs chapelles de la cathédrale gardent, par ailleurs, des éléments – autels, retables, boiseries…- provenant d’édifices détruits de Noyon (Saint-Eloi, Capucins…) et des environs proches (Chartreuse du Mont-Renaud).
Un ensemble canonial parmi les rares encore conservés
Tout le flanc nord de la cathédrale est occupé par un ensemble de bâtiments distribués autour d’un cloître dont, seule, la galerie ouest existe encore aujourd’hui. Cet espace, réservé aux chanoines, était complété par de nombreuses maisons, dont celles qui, avec leurs beaux portails avec pots à feu, s’élèvent à l’ouest de la cathédrale. Plus ancien bâtiment de cet ensemble puisque construit vers 1175 en même temps que le bras nord du transept, le trésor occupe une salle de deux travées au-dessus du portail du transept nord (portail Saint-Pierre) et du revestiaire. Il est remarquable par sa rose richement décorée. Mais c’est surtout au milieu du 13ème siècle que l’on doit le plus remarquable des bâtiments conservés. Communiquant avec la galerie occidentale du cloître, il est constitué d’un vaste cellier en sous-sol, divisé en deux nefs de cinq travées par quatre piles circulaires qui concentrent les retombées des voûtes. Ce plan est repris au rez-de-chaussée, occupé par l’ancien réfectoire. Les voûtes y sont plus hautes et la salle est d’une grande élégance. Le portail et les deux baies en communication avec la galerie du cloître ont été très refaits en 1858-1859. Au-dessus se trouve un grenier d’abondance. Dernière construite – en 1506 -la bibliothèque est une véritable rareté : son étage en pan de bois, tout en longueur, repose sur une galerie ouverte composée de deux files de dix poteaux et renforcée par un mur de soutènement plus tardif. Le célèbre évangéliaire de Morienval (9ème siècle), qui y a pendant longtemps été conservé, se trouve maintenant à l’Hôtel-de-Ville (2008, modifié 2015).
Chronologie :
Points d'intérêt :
Galerie :
Bibliographie :
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- Benjamin FINDINIER, "L'armoire peinte de Noyon", La cathédrale Notre-Dame de Noyon. Cinq années de recherches, Société Historique, Archéologique et Scientifique de Noyon, tome 39, Noyon, 2011, p. 258-275.
- Sophie CLOART-PAWLAK, "Le jubé de la cathédrale Notre-Dame de Noyon. Précisions sur sa datation", La cathédrale Notre-Dame de Noyon. Cinq années de recherches, Société Historique, Archéologique et Scientifique de Noyon, tome 39, Noyon, 2011, p. 276-288.
- Stéphanie DAUSSY, "A propos d'un monument à fleurs de lys (début du XIVe siècle), La cathédrale Notre-Dame de Noyon. Cinq années de recherches, Société Historique, Archéologique et Scientifique de Noyon, tome 39, Noyon, 2011, p. 289-308.
Sites internet :
Documents :
- La cathédrale vue du nord au 18ème siècle par Tavernier de Jonquières (Bnf).
- Le chevet de la cathédrale au 18ème siècle par Tavernier de Jonquières (Bnf).
- L’intérieur du transept de la cathédrale, vu vers le sud, au 18ème siècle par Tavernier de Jonquières (Bnf).
- La châsse de saint Eloi et le maître autel de la cathédrale au 18ème siècle par Tavernier de Jonquières (Bnf).
- Extrait de Alphonse de CAYEUX, Charles NODIER et Justin TAYLOR, Voyages pittoresques et romantiques dans l’ancienne France, Picardie, vol. 3, Paris, 1845.
- Extrait de Alphonse de CAYEUX, Charles NODIER et Justin TAYLOR, Voyages pittoresques et romantiques dans l’ancienne France, Picardie, vol. 3, Paris, 1845.